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Publié par L'aparthéâtre

Témoignages de spectateurs

Scènes de la vie conjugale

D’abord, il y a les mots, ceux de Bergman, des mots simples, des mots de tous les jours pour parler d’une histoire simple, d’une histoire de tous les jours, celle d’un couple qui se délite, d’un amour qui se défait, de la quête infinie du bonheur. Des mots à travers qui chacun cherche et se cherche, des mots qui transpercent le spectateur, il aurait pu les dire, chacun aurait pu les dire, car chacun se reconnaît à un moment ou à un autre…
Ensuite, il y a la mise en scène, sobre, épurée, précise, efficace qui se met au service du texte, l’accompagne et le renforce. Elle réussit et c’est vraiment à son honneur, à donner une impression de dynamisme et de mouvement dans un espace pourtant très restreint.
Il y a encore le jeu des comédiens, juste, touchant, avec ce qu’il faut d’émotion et toute la force nécessaire. Ils portent le texte avec conviction et savent, comme dans la vie, respecter le poids des grands silences significatifs.
Et puis il y a aussi cette intimité, cette proximité, qui mêle comédiens et spectateurs, qui rend floue la frontière entre les deux, qui empêche tout recul. Une fois là, il n’y a pas de retour en arrière possible, on prend le spectacle en plein cœur.
Il y a, il y a vraiment tout pour passer un magnifique moment, un de ces moments que l’on garde longtemps en soi, précieusement, jalousement, et que l’on ressort en secret quand la vie vous réserve une de ses petites scènes ordinaires qui font le quotidien de chacun…

Jean, Bourgogne.

Vraiment merci de cette soirée de vérité/mensonge, fil du rasoir, sur lequel vous nous avez porté avec un brio et une sincérité étonnante…et profonde. Au plaisir de vous revoir.

Jean-Pierre, Toulouse.

Les secrets du haori

C’est l’histoire d’un amour, un vrai, passionné, tumultueux, un amour clandestin, illégitime, qui perdure, sombre et lumineux, heureux et malheureux et qui marque de son sillage profond la vie de ceux qui s’aiment et de leurs proches.

C’est une histoire d’un autre temps, de tous les temps, où les sentiments sont écrasés sous le carcan social, ou les émotions sont tues, bâillonnées par la honte, la dignité imposée, censurées par la morale consensuelle.

C’est une histoire lente, qui se déroule au fil des saisons, aux changements de teintes des feuilles, aux nuances des ciels.

C’est une histoire longue, dont la trame se tisse au fil des mots, au fil des lettres de ces trois femmes au destin tressé par cet amour.

Il fallait oser adapter cette histoire au théâtre, ils l’ont fait et ont magnifiquement réussi leur pari. La scénographie toujours sobre et précise, (c’est déjà une marque de fabrique !) met en valeur le très beau texte et rappelle par petites touches le Japon des années 1940 où se déroule l’histoire. Les deux comédiens, parfaits, jouent alternativement les femmes qui ont écrit ces trois cris d’amour, de jalousie, de doute, d’interrogations.

Le spectateur saisi d’un bout à l’autre, et très intimement liés aux acteurs du drame, pénètre lentement dans les méandres complexes de ces âmes féminines et suit le cheminement des sentiments, des pensées jusqu’au dénouement qui apporte, peut-être, les dernières clés de compréhension. Je m’en voudrais de ne pas citer la superbe bande son qui s’harmonise avec l’ambiance et participe à la force du spectacle.

Bravo, bravo à l’aparthéâtre, bravo d’avoir osé, bravo d’avoir réussi, je souhaite à chacun d’avoir la joie, la chance, le très grand bonheur de vous applaudir un jour !

Jean, Bourgogne.

Merci pour l’audace de ce spectacle, la proximité avec vous deux, la mise en voix de l’univers japonais, et vos trouvailles pour habiter le petit espace. Il en reste une musique douce et violente. Merci vraiment.

Nelly, la Réunion.

Ube très bonne surprise. Adaptation remarquable d’un texte exigeant. Du théâtre intimiste comme je n’en avais pas encore connu. Merci pour ce moment de posie.

Alex, la Réunion.

Clôture de l’amour

Merci ! Un spectacle très fort. Intensité. Emotion. Descente douloureuse dans l’intériorité d’une séparation. Mots durs. Et jolis moments de respiration pour faire penser à un bonheur passé. Vous avez été généreux.

Marie-Claude, la Réunion.

Votre prestation est très brillante : elle suscite une grande émotion et révèle un excellent professionnalisme. Nous diffuserons vos coordonnées sur Lyon, Lons le Saulnier et Lodève, où nous pensons vous trouver des spectateurs.

Dominique, Vienne.

Très très fort et percutant ! Superbe jeux d’acteurs. Bravo à tous les deux.

Cathy, Montpellier.

Le coup de foudre

Original et rafraîchissant.

Marcellin, Montpellier.

Superbe interprétation, textes magnifiques ! Merci pour cette belle expérience.

Christian, Montpellier.

Merci pour ces rencontres où l’amour relie et nous offre son bouquet d’émotions, de rêves et d’évasions…le futur peut-être nous offrira de nouveaux voyages…vers les horizons lointains entre îles et ciel continental.

Isabelle, la Réunion.

Va au vin

Ce fût un beau moment de poésie ludique, de communion festive, d’instants suspendus, d’écoute partagée, bref un grand moment dans l’histoire du chemin des plantées.

Jacqueline, Vienne.

Encore une fois la prestation des comédiens est une pure réussite…et de l’humour…de la poésie…Encore bravo à tous les deux pour le choix des textes et votre belle interprétation.

Cécile, Vienne.

Moirures, nuances de pourpre au vermillon…beau voyage en cépages, maturation lente et sensuelle, beau moment de partage de textes savoureux et savourés.

Chantal, Montpellier.

Les liens

L’autre jour était un jour de représentation, un jour de première : L’Aparthéâtre présentait les « liens » à Pontoux.

Les « liens » c’est d’abord des mots, des mots colorés, épicés, aux fragrances exotiques, qui se tressent en phrases lisses, précises, calibrées au plus juste. C’est aussi une langue qui hésite entre deux mondes, entre deux cultures, une langue d’ailleurs qui chante l’eau et la couleur, la senteur des fleurs éclatantes et de la cuisine des îles, une langue d’ici, qui parle de l’intérieur, de ce que l’on ne dit pas, des émotions cachées, des sentiments enfouis.

C’est surtout des personnages, celui dont on parle, si présent dans son absence, dont la vie se dessine dans la parole des autres et dont la fin imminente a déterminé la réunion, après une longue séparation, des deux autres. Ceux-là, on les voit, on les sent, on les écoute, ils prennent vie et sens devant nous, celle qui est restée, celui qui est parti, parti loin, parti longtemps. Mais on ne coupe pas les « liens » comme cela, on les tend, on les distend, étirés à l’infini entre les continents, entre les cultures, un jour ils vous ramènent où tout a commencé.

Les « liens » c’est deux comédiens habités par leurs personnages, Marie-Line qui a donné naissance aux mots, qui est, qui est véritablement Marie, et Yves qui a su si bien se glisser dans la peau de l’homme partagé. Parmi nous ont pris corps leurs doutes, leurs peurs, leurs joies et leurs envies, parmi nous, avec nous, se tissent les « liens »…

L’autre jour c’était un jour de première, ce fut un grand jour !

Jean, Bourgogne.

Très beau texte, émotions douces, poésie et invitation au voyage…Liens de famille, liens intimes, terre d’enfance, avec ses sons, ses couleurs, ses chants, son parfum. Merci à vous deux.

Thérèse, Caluire.

Les chaises de Georges et Georgette

Que je suis ravie, et dans ma petite famille, ce sentiment est partagé. Merci encore.

Cathy, la Réunion.

Un grand bravo pour le naturel. Ne changez rien surtout.

Colette, la Réunion.

Littéralement subjuguée par vos jeux, expressions, j’ai adoré.

Laure, la Réunion.

Belle expérience de spectatrice conquise.

Danielle, Boulogne.

Très beau spectacle, poétique, attachant.

Sylvie, Grasse.

On vous remercie pour ce spectacle, on a beaucoup aimé, et très marrant, on s’est vraiment amusé.

Marie-Claude et Julia, foyer de Carpentras.

Merci de ce moment où l’absurde nous rappelle des vérités.

Dominique, Paris.

Que ne fait-on pas avec 4 pieds de chaise ? Superbe interprétation.

Yves, Suisse.

C’était très très cool.

Nathan, 7 ans.

Superchouette, rigolo, bien aimé.

Jeanne, 12 ans.

J'ai beaucoup aimé votre travail.

Une belle écriture.

Une mise en scène inventive.

Et un jeu précis et communicatif.

Patrick, Juvignac.

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