Nos créations

Publié par L'aparthéâtre

"Transport (Drancy - Auschwitz 1942)" (durée 1h)

 

  • C’est l'adaptation du roman "Transport", d'Yves Flank , une perle rare, à l’écriture ciselée, pure, libre et surprenante. Le souffle est vite coupé, tant l’histoire est universelle. L’Histoire, aujourd’hui, nous la connaissons tous. Celle de wagons à bestiaux au départ de Drancy dans lesquels s’entassent des femmes, des hommes, des enfants et qui les transportent lentement mais inéluctablement vers la mort. Transport ne raconte pas cette histoire, Transport nous la fait vivre. https://www.editionsdelantilope.fr/project/transport/
  • Durée : 1h
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"Desproges en petits morceaux" (durée 1h)

Bienvenue dans le monde du grand Desproges. Des courts textes et des citations puisées aux quatre coins de son œuvre et même au centre…Une liberté de ton, un sens inné de la formule, un humour grinçant et désespéré. Yves Flank et Marie-Line Schrotzenberger nous donnent à entendre, avec un enthousiasme décapant, ce clown tout à la fois drôle et tragique. Tout y passe, l’amour, les enfants, la guerre, la mort, Dieu et le vin…On y pousse des oh et des ah, beaucoup de ah ah ah !

Et oui « Il nous faut rire de tout. C’est extrêmement important. C’est la seule humaine façon de friser la lucidité sans tomber dedans. »

"Retrouvailles aïe, aïe, aïe! " (durée 40 mn)

Et voici la version rue de Retrouvailles, Retrouvailles aïe, aîe, aÏe ! Encore plus jubilatoire, encore plus humoristique, encore plus percutant, encore plus ironique que la version classiqueLes boules de neige valsent, les trains passent et ne s'arrêtent pas, les bonnets font un drôle de ballet, les écharpes servent à frapper...La férocité de Thomas Bernhard gronde et fait grincer les dents quand il fait parler  deux amis d'enfance sur le quai d'une gare de haute montagne. De quoi parlent-ils? De leurs parents respectifs, de leur cruauté, de leurs obsessions...

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"Retrouvailles", texte de Thomas Bernhard (durée 1h10)

Dans Retrouvailles, le meilleur texte du livre « Goethe se mheurt », Thomas Bernhard revient sur le thème de la famille destructrice. Il le déploie magistralement dans son style circulaire et musical, labyrinthique avec férocité, humour et ironie. Deux amis d’enfance dont les parents partageaient la même passion pour la haute montagne se rencontrent sur un quai de gare et se remémorent la cruauté parentale dont ils furent victimes.

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"Lignes de fuite", texte de Marie-Line Schrotzenberger, éditions Christophe Chomant (durée 1h30)

Nous sommes dans les années 1730 sur l’île Bourbon. Dans les plantations règne la loi de la domination du maître sur l’esclave. La pièce s’ouvre sur la traque de Jocelyn, esclave de Monsieur Henri Payet. Il aime Céline Grondin, une femme blanche. Défiant l’ordre colonial, Céline et Jocelyn veulent fuir dans les Hauts de l’île pour vivre leur amour.

Il y a aussi Arsène, Ignace, Etienne, esclaves noirs de pioche, qui rêvent de fuir les humiliations de leur maître, Monsieur Marcel Grondin.

Hortense, qui cauchemarde la nuit après avoir été violée par les deux maîtres blancs.

Les chasseurs Lucien et Pierre, le commandeur Louis, tous trois avides de récompenses, qui sont aux ordres des maîtres.

Le greffier qui consigne dans ses registres les châtiments appliqués aux esclaves fugitifs appelés esclaves marrons.

Des lignes de fuite se dessinent. Lignes de fuite pour tous les humiliés, pour porter l’espoir de liberté, pour bouleverser l’ordre établi.

La fuite comme un acte de résistance. 

 

"Lettres d'intérieur", textes d'auteurs contemporains (durée 1h)

Du 23 mars au 5 juin 2020, en ce temps de confinement, chaque matin de la semaine à la radio (France Inter), un ou une artiste, peintre, écrivain ou écrivaine, chanteur ou chanteuse, comédien ou comédienne, scientifique … ont livré en trois minutes leurs impressions du moment dans le format de la lettre. Ces “Lettres d’intérieur” ont été lues à l’antenne par le journaliste et critique littéraire Augustin Trapenard. Chaque artiste avait une totale liberté sur le choix du destinataire, réel, fictif, proche ou inconnu, et du thème abordé. Pour l’auditeur ou l’auditrice, l’évasion était  garantie, la poésie s’invitait, les images, les époques traversaient les esprits.

 

"Les enfants d'Izieu", texte de Rolande Causse (durée 35 mn)

 

 

Dans un long poème écrit en prose, tout en sobriété, Rolande Causse raconte de façon poignante, en trois étapes, l’histoire des enfants et des adultes de la Maison d’Izieu.

 1944, à Izieu, un petit village de l'Ain. Le 6 avril, des hommes de la Gestapo et des soldats allemands viennent arrêter les 44 enfants âgés de quatre à quinze ans et les 7 adultes de la Maison d’Izieu. À la suite de cette rafle, ils sont transférés à Lyon puis à Drancy et déportés à Auschwitz où ils sont exterminés.

 

"Le parti d'en rire", textes de Pierre Dac (durée 1h30)

Vous découvrirez le programme du Parti d’en rire, son hymne, ses pensées philosophiques, ses recettes, ses offres d’emploi, ses sketchs…Les textes loufoques de Pierre Dac s’enchaînent et font résonner son humour tendre, rafraîchissant et décalé. Une découverte pour les plus jeunes, une re-découverte pour les plus vieux !

Un spectacle qui rend heu-reux!

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"L'Augmentation", de Georges Perec (durée 1h10)

La première, à La Réunion, 1er avril 2017

 "L'Augmentation, ou comment, quelles que soient les conditions sanitaires, psychologiques, climatiques, économiques ou autres, mettre le maximum de chances de son côté en demandant à votre chef de service un réajustement de votre salaire".


Répétant inlassablement les mêmes gestes et les mêmes mots – avec chaque fois une infime variation qui fait toute la différence – l’homme et la femme, employés de cette Entreprise endossent tous les personnages. C'est un marathon tragi-comique, où Georges Perec joue avec les mots et les rythmes. Perec pousse très loin l’art de la dérision. La mise en scène épurée fait jaillir de cet oratorio toute l’absurdité de l’âme humaine. Nous assistons à une merveilleuse mécanique de théâtre, à un crescendo jubilatoire où se mêlent l'absurde, la dérision, l'écriture oulipienne de Georges Perec et son humour.

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« Scènes de la vie conjugale » d’Ingmar Bergman (durée 2h)

Les dialogues quotidiens d'un couple presque parfait. L'ordinaire de la vie conjugale avant l'orage. Puis la vie tourne à l'ennui, la platitude tourne au drame. La plaie vive de la rupture, l'espoir vite déçu d'une vie nouvelle, la culpabilité et la violence font vivre à Johan et Marianne les plus difficiles moments de leur existence.

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« Les secrets du haori », d’après « Le fusil de chasse », de Yasushi Inoué (durée 2h)

Les secrets du haori, un théâtre épistolaire, poétique et intime. Une histoire dont la trame se tisse au fil de trois lettres. Trois regards sur un amour, tressé de secrets. C’est l’histoire d’un homme, Josuké Misugi, et des trois femmes qui ont été au centre de son existence : son épouse Midori, sa maîtresse Saïko, la fille de sa maîtresse, Shoko. Chacune de ces femmes lui adresse une lettre.

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« Clôture de l’amour », de Pascal Rambert (durée 1h15)

Un face à face, ses mots à lui pour proférer la rupture, ses mots à elle pour accuser la douleur. Des mots comme des coups de poing. Ils ne sont pas sur un ring de boxe et pourtant ils cognent et se font mal. Pas de pathos dans tout ça, une douleur glacée uniquement. L’amour a existé, il est là, comme une réminiscence.

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Le coup de foudre, lecture-spectacle de la compagnie l’Aparthéâtre (durée 1h)

Un amour soudain, imprévisible, irrésistible qui monte d'un regard, d'un mouvement et qui peut tout renverser. Lecture de textes choisis sur ce thème, petits bijoux de la littérature, qui brûlent de l'éclat de pierres précieuses et frappent de leur grâce les spectateurs

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Va au vin, lecture-spectacle de la compagnie l’Aparthéâtre (durée 1h)

Une lecture spectacle faite de textes gouleyants, frais et charpentés à servir à température ambiante comme ce vin couleur de jour, comme ce vin couleur de nuit.

Va au vin avec Rabelais, Baudelaire, Colette, Desproges et bien d’autres, traverse le Languedoc, le Bordelais, la Bourgogne, l’Anjou, la France entière et la Perse, toi qui cherches la sagesse, l’amour et l’ivresse, va au vin.

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Les liens, de Marie-Line Schrotzenberger (durée 1h35)

C’est une histoire à deux voix. Celle de Marie, celle de Paul. Tout en retenue, chacun dénoue les fils de son histoire. Paul a quitté l’île de la Réunion, il y a trente ans. Il revient après trente années d’absence. La mère vit ses derniers moments dans la chambre du fond, dans sa case, au bord de l’océan indien.

Les mots sont des fils tendus qui tissent et retissent les liens. Les liens à leur mère, à la terre natale, à la langue maternelle, le créole.

La mère, dans la chambre du fond, est là, au milieu d’eux, avec eux.

La Réunion est là, avec ses couleurs et ses odeurs, son ciel et son océan, ses rites et ses coutumes.

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Les chaises de Georges et Georgette, de Marie-Line Schrotzenberger (durée 40mn)

Prenez un drôle de monsieur qui répond au nom de Georges, puis une drôle de dame qui répond au nom de Georgette. Ils marchent au milieu de nulle part avec pour bagages deux chaises. Ils attendent. Mais qui attendent-ils ? En attendant, ils jouent à inventer des jeux pour tromper l’ennui et le silence. Les chaises sont terrain de jeu, un premier espace d’interrogation et ensemble à quatre mains et à deux voix, sans artifice, ils construisent un temps suspendu plein de tendresse et d’humour. Ils rient, ils s’étonnent, ils râlent, ils s’adorent et inventent une épopée intime à tous. C’est simple, on s’attache à Georges et Georgette. Un spectacle poétique, décalé et attachant. Sur scène pas de héros, des gens simples, des chaises, des souvenirs et des peurs d’enfant, des clins d’oeil et des pieds de nez.

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14-18 ou l’impossible oubli, lecture-spectacle qui peut être accompagnée des tableaux de Philippe Guerry (durée 1h)

Des témoignages, des citations, des documents, des lettres, des tableaux émaillent cette lecture spectacle et restituent le vécu, les réactions des acteurs de l’époque, soldats ou civils, devant les horreurs de la guerre. Peurs et espoirs des combattants, révolte des mutins, apparaissent au travers des carnets, poèmes et récits des écrivains, poètes, journalistes et soldats des différents pays.

Les valises de Georges et Georgette, de Marie-Line Schrotzenberger (durée 40 mn).

Une valise puis deux puis trois puis quatre, puis puis puis... Des petites , des grandes, des vieilles puis puis puis ... ce n'est pas fini. La valise qu'ils ne veulent plus ouvrir, celle des mauvais souvenirs. La valise sur laquelle ils misent. Celle avec laquelle ils veulent partir. Georges et Georgette architectes de leur bonheur, construisent des lignes, des pyramides, des cercles. Tout ça avec leurs valises. De faux départs en faux départs, ils nous entraînent dans leur imaginaire débridé, loufoque, rempli d'humour et de tendresse.

Georges et Georgette ont une crainte, qu'on les enferme en maison de retraite. Alors ils luttent à leur manière.

Des chansons, de l'action, de l'imagination, des clins d'oeil et des pieds de nez. Georges et Georgette avec leurs valises sont de grands enfants pleins de fraîcheur et de naïveté.

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Kabarébaré

Kabarébaré, un vrai-faux cabaret fantaisiste.

Deux maîtres de cérémonie vont tenter de le faire naître. Tous les ingrédients sont sur le plateau. Ils s’amusent à les expérimenter.

Sur le feu, des textes courts, des textes longs, ils passent en revue une humanité tendre et mélancolique, tantôt joyeuse tantôt aigrie, ils tournent en dérision nos comportements, avec de la musique qui gratouille et des chansons qui chatouillent.

Kabarébaré, s’il a lieu, promet d’être pimenté : de l’humour, de l’amour, de l’absurde et des grincements de dents.

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Publié dans Spectacles

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